Tites 3.1-2.
Le
message de la Bonne Nouvelle c’est que
nous ne pouvons pas gagner notre
salut par une vie juste. Les chrétiens
doivent être non seulement de bons membres de l’église, mais aussi de bon citoyens. Cela se traduit par la
soumission aux autorités et par un
travail honnête.
Comme
nous avons vu durant ce 4e Trimestre 2016, à travers l’histoire Job, la
Bible nous parle d’un homme qui eut un bon témoignage
à son époque. La Bible le
décrit comme :
-
Irréprochable, càd
mature, parfait aux yeux de Dieu,
intègre.
-
Droit, càd
juste, bon citoyen.
-
Craignant Dieu,
càd la haine du mal, de s’écarter du mal,
-
De s’éloigner du mal en faisant ce qui est bien.
En
faite la Bible nous dit dans Job 29 qu’il était considéré comme un membre respecté de la
société et aimé par eux.
Ainsi comme nous dit l’apôtre Paul dans Tite, nous devons faire ce qui est bien. Une vie intègre témoigne
de la puissance de l’Evangile.
En tant que chrétiens, nous devons être fidèles et disciplinés afin de servir.
Reprenons
ensemble notre texte de Tite 3 :
« … Rappelle aux fidèles qu’ils doivent se
soumettre aux dirigeants et aux autorités, qu’ils doivent leur obéir, en étant
prêts à faire toute action bonne. Qu’ils ne disent du mal de personne, qu’ils
soient pacifiques et bienveillants, et qu’ils fassent continuellement preuve de
douceur envers tous les autres….. ».
Ici l’auteur
nous dit que l’attitude
chrétienne reconnait que toutes les autorités sont mises en place par Dieu. Les chrétiens ne sont pas au dessus des lois. Leurs responsabilités ne se limitent pas au respect de la loi
civile, mais doit contribuer
au bien de leurs concitoyens.
En faite, la
manière dont nous accomplissons
nos devoirs civiques est un
témoignage devant le monde. Notre vie en société devrait refléter l’amour de Christ, tout
comme notre vie d’église. Le
chrétien doit protéger toute personne du
ridicule, de la calomnie, de l’insulte.
Quelle sommes de chagrins et
d’affection pourraient être évitée si les chrétiens obéissaient à ces préceptes
tout simples de ne jamais médire de personnes. En faite il ne s’agit pas de
dénigrer nos talents ou efforts, ni à l’inverse de célébrer nos compétences pour rabaisser les autres, mais plutôt de faire preuve d’honnêteté et de respect.
Or une fois de plus,
au milieu d’une section
vouée aux questions d’éthiques, l’apôtre introduit
un passage doctrinal classique
sur notre salut. Les serviteurs du péché ont différents maîtres, leurs
convoitises les précipitent dans diverses voies, conduites par l’orgueil et
caprices. A travers cela, ils sont méprisables et haïssable à cause de leur
péché, mais cela doivent être différents
pour les chrétiens qui ont le devoir
et la joie de s’aimer mutuellement.
Ainsi ce que nous sommes maintenant n’est pas le
résultat de nos propres œuvres, mais
celui de l’amour de Dieu, qui est
manifesté dans l’Evangile. Nous passons
d’une vie remplie par le péché à une vie où nous sommes dirigés par le Saint
Esprit. Sur la base du sacrifice de son Fils à la croix, le Père
nous pardonne et nous envoie le
Saint Esprit pour nous laver de nos
péchés et nous renouveler
continuellement. L’Esprit de Dieu effectue
le renouveau de l’esprit de
l’homme en l’amenant à la foi et à la repentance ; à travers
la prédication de l’Evangile. Le pécheur
meurt au péché, est enseveli par
le baptême, résurrection à une nouvelle vie,
et il est une nouvelle créature.
En faite, la nouvelle naissance est aussi décrite comme le renouvellement du
Saint Esprit. L’Esprit de Dieu opère une
merveilleuse transformation, non pas en mettant de nouveaux habits sur le vieil
homme, mais en mettant un nouvel homme dans les habits.
Or nous sommes arrachés à notre misérable condition, due au péché, uniquement par la
miséricorde et la grâce de Dieu par le mérite
et souffrance du Christ et
l’œuvre de l’Esprit. Leurs sources prouvent de la bonté et de l’amour de Dieu envers l’homme. L’Esprit de Dieu œuvre en notre âme. A travers ce dernier, nous mortifions le péché, nous
accomplissons notre devoir et marchons dans les voies de Dieu.
Enfin nous terminons notre réflexion avec le V8
où Paul insiste sur la nécessité pour les chrétiens de faire le bien, qu’il
s’agisse d’un service fidèle, d’action
de générosité, ou engagement dans la société.
Tout cela est incapable de nous
sauver ou influencer en quoi que ce soit l’amour de Dieu pour nous, mais cela reflète le niveau de notre engagement et de notre
œuvre pour Christ.
En Conclusion, un enseignement qui prédit un comportement compatible avec notre
profession chrétienne est excellent et utile. Tout enseignement doit être appliqué
de manière personnelle et pratique.
Enfin que l’amour et la faveur de Dieu, avec
les fruits et les effets qui en sont le résultat, selon le besoin, et que la
croissance et la sensibilité soient de plus en plus dans les âmes. Ceci est le
souhait de l’apôtre et sa prière, montrant son affection pour eux, et le désir
de leur bien, et l’exaucement des prières
qu’il avait faites à leur égard.