Psaumes 104 : 1.18,
31-35.
Ce psaume est un hymne au Dieu Créateur dont la création
harmonieuse et la providence
sont soulignés par pour
ses plus grande gloire. Ainsi
ce Psaume expose une suite impressionnante d’image qui
correspondent au récit de
Voyons ce Psaume :
V1-2 :
Ces 2 versets nous parlent de la louange du psalmiste
au Dieu Créateur. Il loue son
Dieu, car il est grand, et incomparable, qui a
tout fait, créé soit par sa
parole, ou soit par sa main.
En faite, le psalmiste dit bien
que Dieu est revêtu de splendeur,
et son aspect reflète la lumière, image
de la création au 1er jour quand il créa la lumière pour tirer
la terre dans les ténèbres. La bible
nous dit que Dieu est Lumière, Il est comparable au soleil
pour nous humain. Nous
avons l’exemple de JC
à la montagne de
V3-4 :
Le psalmiste continue ici de
louer son Dieu en disant qu’il a construit ses palais au dessus des eaux, des nuées, comme il est dit dans Genèse 1 concernant la séparation des eaux.
Mais aussi
Cependant, nous voyons que Dieu est grand, Il utilise les éléments naturels que nous nous connaissons tous pour être ses serviteurs. Ainsi nous voyons que le psalmiste utilise le vent, les éclairs, des éléments naturels qui entre les mains de Dieu vont devenir d’obéissants serviteurs.
V5-8 : Ici, l’auteur revient au jour de la création. Il nous dit que Dieu a mis la terre sur de solide fondement, afin qu’elle ne soit pas ébranlé, qu’elle reste stable. Ensuite, il nous dit que Dieu a couvert cette terre d’océans comme d’un vêtement. Or, l’auteur continue en déclarant que cette eau écoute la voix de son Créateur, et ils font ce que Dieu leur demande, et même s’enfuirent comme un tonnerre en passant par les montagnes et les vallées, pour s’installer où Dieu leur a assignés.
Enfaite nous voyons que dans le V9, que Dieu a fixé des limites aux eaux comme il est dit dans Gen 1.9-10. La puissance divine et sa promesse (Gen 1.9) constitue la garanti pour l’homme que les eaux, qui représentent toujours un danger, n’envahiront plus la terre habitée.
V10-12 : Nous connaissons tous que la terre n’est pas habitée que par les hommes, des animaux domestiques, mais il y a aussi des animaux sauvages. Même ces animaux là, Dieu en prend soin en leur donnant de l’eau à boire, de la nourriture afin qu’il vit comme toute créatures qu’il a faite. Dans ces montagnes, où vivent ces animaux là, il y a des oiseaux qui ont fait leur nid, et là eux, ils louent Dieu par leur chant à travers le feuillage. Nous voyons par cette image que Dieu est un Dieu d’amour, qu’il n’abandonne pas ce qu’Il a créé, même les plus méchants.
V13-15 : Comme nous avons vu que Dieu prend soin des animaux sauvages, de même Dieu il prend soin des herbes, du bétail, en déversant la pluie dont ils ont besoin afin de les faire germer et pousser afin d’en récolter les fruits. En faisant cela , Dieu veut que l’homme ait sa nourriture de la terre, de ses récoltes pour vivre et ainsi le vin comparé à l’huile pour oindre son visage contre les attaques du soleil, lui rendra gai, heureux et son pain qui constitue un élément essentiel pour la vie quotidienne. Le psalmiste souligne bien que cela sont des dons provenant du généreux Créateur.
Le commentaire de
V16-18 : Cependant le psalmiste nous dit que grâce à la générosité de Dieu, les arbres qui sont comparables au Cèdre du Liban (Arbre majestueux), représente une prospérité durable et ainsi les oiseaux auront un endroit sûr pour faire leur nid. Et les autres animaux sauvages ont les rochers pour s’abriter et trouver refuge.
Enfin les derniers versets de ce
Psaumes nous parlent de
Les V31-35 nous montre que nous devons rendre gloire à l’Eternel pour ce qu’il a fait. De même la gloire de Dieu doit demeurer éternellement et qu’il se réjouisse de ces œuvres, car tout est parfait. Enfin, le psalmiste déclare qu’il veut louer son Créateur avec des chants jusqu’à la fin de sa vie. Que son chant lui soit agréable, car l’Eternel lui donne la joie et c’est pour cela qu’il veut lui dire « Merci, Alléluia, vive le Seigneur. »
Conclusion :
Comme nous
avons vu, ce Psaume célèbre la création de Dieu, et toutes ces merveilles. Dans
En faite, le Psaume a tendance à monter le monde comme un paradis. Dans sa réalité géographique, le pays biblique souffrait beaucoup de la sécheresse. Ainsi, la vie dépendait de l’eau, pour les humains par le vin, le pain, et l’huile, comme pour les animaux. Or, seul Dieu possède le secret de l’irrigation dans la nature.
Enfin, le Louer c’est concilier ses faveurs pour qu’il montre prodigue de ses largesses.