Texte Biblique : Psaumes 116 : 12, Romains 12 : 1, Matthieu 23.23
Aujourd’hui je vais traiter un sujet qui expliquera comment payer le prédicateur sans employer votre propre argent. Sûrement beaucoup d’entre vous sont intéressés sur ceci. Il y a quelques temps de cela, nous avions étudié certaines des caractéristiques spirituelles internes de la vraie église. Aujourd’hui je veux que nous considérions un aspect très important de l’église qui se rapporte à l’organisation et aux finances. Même un corps sacré tel que l’église doit être basé sur des principes d’administration sains ou bien il sera sûrement en difficulté. Dieu n’a jamais prévu que son travail devrait souffrir en raison des méthodes de financement pauvres. Pour cette raison il a fixé un modèle dans la bible par laquelle le ministère de l’évangile peut être soutenu dans toutes ses diverses phases et activités. Après tous, le prédicateur doit vivre et manger juste comme d’autres personnes. Jésus a dit, « le travailleur est digne de son salaire. » Luc 10:7.
Bon ici, je voudrais expliquer quelque chose au sujet du ministère qui se distingue indépendamment de chaque autre classe de métier ou de vocation. Ce n’est pas simplement une profession ordinaire telle qu’un docteur ou un avocat peut suivre. Le travail de prédicateur de l’évangile est l’appel de Dieu et ceux qui répondent à l’appel sont contraints profondément à l’exhortation spirituelle. Le vrai esprit du ministère n’est pas, en tout degré, basé sur des motifs matériels ou commerciaux. Ceux qui prêchent la parole vivante de Dieu ne doivent pas le faire juste parce qu’il fournit une vie. Ils ne prêchent pas pour l’argent mais pour des âmes. L’offre de salaires plus élevés ne devrait pas porter la moindre influence dans la mise en œuvre de leurs fonctions spirituelles.
Mes amis, c’est une mauvaise chose que d’utiliser l’argent comme facteur pour appeler un homme pour être un prédicateur. Combien de fois nous avons vu l’arrangement par lequel le pasteur d’une église être approché par des délégués d’une autre église avec une offre de salaire meilleur s’il viendrait et prêcherait pour eux. Après considération due, ce pasteur montera sur son pupitre pour dire à son assemblé que Dieu l’a appelé dans une autre église, mais au lieu de l’appel de Dieu, en réalité, c’était l’appel d’un salaire plus élevé qui l’a fait changer d’églises. Ainsi le travail de Dieu est introduit dans le reproche et le ministère sacré est déprécié.
Cela nous amène à une autre question. Comment le ministre de l’évangile va-t-il être payé après tout ? J’ai entendu parler d’un prédicateur qui a fermé toutes les portes de l’église et a refusé de prêcher jusqu’à ce que l’objectif de l’offrande ait été atteint. D’autres églises ont recouru aux foires religieuses, loteries, bingo, etc…, pour atteindre leurs engagements financiers pastoraux. Est-ce que ce plan est de Dieu ? Est-ce de cette manière qu’il a ordonné pour que les églises règlent le déficit de leurs budgets ? Je proteste contre ce genre de programme pour réunir l’argent pour payer le prédicateur. Quelque chose est désespérément mal avec une église qui doit introduire le monde dans son plan d’opération.
Si le Christ entre dans certains de ces temples et cathédrales aujourd’hui, il serait juste comme indigné qu’il fût à son époque. Il dirait une fois de plus, « Emportent ces choses d’ici. Vous avez fait de ma maison de prière un repaire des voleurs. » Quelle tragédie, c’est que beaucoup de jeunes ont appris à être experts en matière de jeu à l’intérieur des murs de leur propre église. Quel commentaire triste sur l’état des chefs religieux modernes qui encouragent de telles démonstrations. Est-ce cela que Dieu attend des personnes qui sont appelés par son nom ?
Qu’est-ce que Dieu veut que nous lui rendions, les amis ? Dans le Psaumes 116:12 j’ai lu cette question de provocation. « Comment rendrai-je à l’Éternel Tous ses bienfaits envers moi ? » Noter que notre bien-être éternel dépend de notre fidélité dans nos engagements envers Dieu. Maintenant quels sont ces engagements ? Je veux proposer quatre engagements spécifiques que nous devons rendre à Dieu en tant que ses enfants. D’abord, nous devrions donner nous-mêmes à Lui, notre corps.
Noter ce texte dans Romains 12:1 : « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable ». Maintenant, Dieu nous a créé et a inspiré la vie dans nos corps. Il maintient notre battre de cœurs et le sang traversant notre système compliqué du corps. Nous ne pouvons pas traiter nos corps comme nous voulons parce que nous appartenons réellement à lui et il réclame ce corps comme endroit de logement pour son Saint-Esprit. Lire 1 Corinthiens 6.19 pour confirmer cela.
Maintenant nous venons à la deuxième requête que Dieu étend sur nous. Dieu a besoin que nous lui donnons un septième de notre temps. Le jour du sabbat avec ses vingt-quatre heures bénies appartient à Dieu dans un sens spécial. Si nous prenons ce temps et l’employons pour nous-mêmes, nous volons réellement quelque chose qui n’appartient pas même à nous. Nous cassons le huitième commandement par la prise du temps que Dieu réclame en tant que sien. Il nous le donne seulement à l’utilisation pendant qu’il nous dirige.
Le troisième engagement chrétien est présenté dans Lévitiques 27:30. « Toute dîme (des produits) de la terre, soit des semences de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l’Éternel ; c’est une chose consacrée à l’Éternel ». Maintenant le Seigneur veut que la dîme de tous ce que nous possédons lui soit retournée. Qu’est-ce que la dîme de toute façon ? Lire le verset 32, « pour toute dîme de gros et de menu bétail, de tout ce qui passe sous la houlette, le dixième sera consacré à l’Éternel ». Ceci signifie qu’un dixième de toute notre augmentation appartient à Dieu. Nous ne pouvons pas penser à cela avant, mes amis, mais dix pour cent de notre revenu sont saints pour le Seigneur.
Nous ne pouvons pas le garder pour nous-mêmes sans violer réellement le huitième commandement de nouveau et voler ce qui n’est pas à nous. Si un homme gagne $200 par mois, $20 n’est pas vraiment à lui. Bien sûr seulement le bénéfice ou l’augmentation est sujet à la dîme. En d’autres termes un homme d’affaires pourrait réaliser une augmentation de $500 par mois mais $200 seraient nécessaires pour payer les salaires de ses assistants et d’autres dépenses générales. Dans ce cas, il devrait seulement payer à $30 de dîme sur le bénéfice $300 ce mois.
Quelqu’un peut bondir pour objecter qu’ôter la dîme appartient à la Loi Mosaïque, à l’Ancien Testament, et ne s’applique pas à nous dans le Nouveau Testament. Mais le fait c’est que ce plan d’ôter la dîme antidate la période de Moïse des centaines d’années. Abraham a payé la dîme au Seigneur à sa propre gestion longtemps avant les jours de Moïse. Jacob paya la dîme également sur tous ce qu’il a eus. C’était un engagement devant la race juive et également avant que la loi cérémonielles avait même vu le jour.
Mais maintenant lisons ce que Jésus a dû dire au sujet d’ôter la dîme. Après tous il est le grands guide et l’exemple pour nous tous dans des choses spirituelles. Dans Matthieu 23.23 : « Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites ! Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qu’il y a de plus important dans la loi : le droit, la miséricorde et la fidélité ; c’est là ce qu’il fallait pratiquer sans laisser de côté le reste ». Veuillez maintenant noter que Jésus a dit à ces personnes qu’ils doivent payer la dîme. Ce mot « doit » dénote l’engagement et crée immédiatement une base morale pour la doctrine. Il est moral parce qu’il implique de voler Dieu, car nous allons lire dans quelques minutes qu’on doit rétablir les écritures saintes.
Posons cette question avant que nous allions plus loin. Est-ce que l’argent de la dîme est employé pour le travail du Seigneur ? Veuillez tourner à 1 Corinthiens 9.13 : « Ne savez-vous pas que ceux qui remplissent les fonctions sacrées sont nourris par le temple, que ceux qui servent à l’autel ont part à (ce qui est offert sur) l’autel ? » Ici Paul se réfère au sacerdoce de l’Ancien Testament et comment ils ont reçu un moyen d’existence pour leurs travaux de sacerdoce dans l’ancien autel. Mais lisons maintenant le prochain verset, le verset 14. « De même aussi, le Seigneur a établi comme règle que ceux qui annoncent l’Évangile vivent de l’Évangile ». Ce test enseigne clairement que le ministre de l’évangile doit être soutenu exactement de la même manière que les prêtres de l’Ancien Testament.
Nous nous tournons maintenant vers les écritures saintes pour découvrir quel plan Dieu a prévu pour soutenir le ministère, dans l’Ancien et dans le Nouveau Testament. Dans Nombres 18.21 j’ai lu : « Je donne comme héritage aux fils de Lévi toute dîme en Israël, en échange du service qu’ils font, le service de la tente de la Rencontre ». La tribu de Levi n’a reçu aucune transmission pendant que les autres israélites recevaient. Ils n’ont eu aucun troupeau, aucunes entreprises. Toutes les autres tribus ont payé la dîme et ce dixième a été employé pour payer les prêtres, les Levites.
D’accord, les amis, « de même aussi, le Seigneur a établi comme règle que ceux qui annoncent l’Évangile vivent de l’Évangile, » ainsi déclare Paul. La dîme ne doit pas être employée pour des fonds d’éducation, des dépenses d’église, ou des fonds aux pauvres. Il est ordonné à Dieu pour payer seulement au ministère.
Dieu n’a jamais eu l’intention que les prédicateurs s’empêtrent dans les immobiliers, les ventes de voiture, ou quelques affaires latérales. Un homme appelé de Dieu devrait donner son temps plein à la Parole de Dieu. Sa vie, en d’autres termes, devrait être fournie par le plan divin du système d’ôter la dîme. Écoutent, les amis, ce système élimine une des plus grandes tentations faisant face au ministre moderne de l’évangile. Quelques prédicateurs ont réellement peur de prêcher la vérité claire par crainte de découper leur propre salaire.
Quand un pasteur est payé directement par l’assemblée locale et doit dépendre seulement de la libéralité d’un groupe d’église, il est dans le dilemme inquiet. S’il réprimande le péché pendant qu’il devrait être réprimandé, il peut offenser même ceux qui suspendent de donner des offrandes et son propre salaire sera compromis ainsi. Maintenant, écoute, je sais qu’aucun vrai pasteur ne prêcherait des choses douces justes pour le gain mondain. Mais, néanmoins, beaucoup ont réellement peur de prêcher simplement dans les conditions que j’ai juste décrites. Le plan de Dieu élimine cette tentation de ramollir la vérité. Une assemblée locale ne devrait pas payer l’homme qui prêche eux-mêmes directement et ceci éliminerait ce grand danger.
Certains se plaignent qu’elles ne peuvent pas payer la dîme parce qu’il n’y a plus rien après que toutes les factures soient payées. Mais, les amis, faisons-nous une bonne chose d’attendre que tout soit payé avant, afin que nous donnions à Dieu la dîme ? Dans Proverbes 3:9 nous lisons, « Honore l’Éternel avec tes biens Et avec les prémices de tout ton revenu ». En d’autres termes, payer la dîme en premier. Même les pasteurs payent un dixième de leur salaire bien qu’ils soient payés des fonds de la dîme eux-mêmes. Après tous, tout appartient à Dieu, n’est-ce pas ? Tout l’argent, l’or et les bétails par milliers. Nous sommes simplement des administrateurs de ces choses. Il nous a laissés utiliser ces choses. Nous payons le loyer sur une maison afin de reconnaître que la maison n’est pas vraiment à nous. Nous l’employons juste. De la même manière, nous donnons le dixième de nouveau à Dieu pour reconnaître que toutes nos possessions nous sont juste données à l’utilisation, ils appartiennent vraiment à Dieu, au grand Créateur et au propriétaire de toutes les choses.
Enfin nous venons à ce texte très important dans Malachie 3:8-12 : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, Et vous dites : En quoi t’avons-nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, Et vous me trompez, La nation tout entière ! Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, Dit l’Eternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. Pour vous je menacerai celui qui dévore, Et il ne vous détruira pas les fruits de la terre »
Voilà les amis, les gens qui volent Dieu ! Les rapports du FBI ont indiqué l’année dernière qu’il y avait 420.000 cas de vol aux Etats-Unis mais plus de 3 millions de cas de cambriolage. Mais c’est seulement une fraction de la vraie image. Combien de million de membres d’église ont été coupables du plus mauvais type de vol et de Dieu aussi. Probablement il y a plus de voleurs dans l’église sur cette base qu’en dehors de l’église. En fait, il n’y a aucune question à son sujet. Dieu dit si nous prenons la dîme, nous lui volons.
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