« Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. La bête que je vis était semblable à un léopard, ses pattes étaient comme celles d’un ours et sa gueule comme la gueule d’un lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et un grand pouvoir… » Apocalypse 13.1.2
La description de cette bête a des connotations politiques Les cornes représentent fréquemment le pouvoir politique dans l’Ancien Testament. La bête porte le diadème de l’autorité politique. Le léopard, l’ours el le lion rappellent au lecteur les grands empires du passé tels que Babylone, la Perse et la Grèce. Derrière toutes ces puissances politiques se cache le dragon, le diable, le serpent ancien appelé Satan (Apocalypse 12.7-9).
L’un des aspects effrayants de ce passage réside dans le fan que le diable ne travaille pas seul mais qu’il profite du soutien actif des hommes. Ceux qui suivent Satan sont capables des pires atrocités. Il est rapide d’établir une » liste noire » incluant Néron. Hitler. Staline, Mao, et Pol Pot ; le trafic d’esclaves arabe et occidental l le terrorisme : les génocides de l’Allemagne nazie, du Rwanda, du Cambodge, de la Bosnie et la Turquie arménienne. Aucune horreur n’est impossible quand les puissances démoniaques réduisent la conscience au silence.
Mais le mal est-il à son comble uniquement loin de chez nous ? Le spécialiste des droits de l’homme, Gary Haugen, découvrit qu’au Rwanda. les meurtres en séné n’étaient pas commis par des lueurs pathologiques. » Quand les barrières tombent, fermiers, employés, directeurs d’école, mères, médecins, maires et charpentiers peuvent tuer à la machette des femmes et des enfants sans défense. » « Et il conclut. – L’homme sans Dieu […] est une terrible créature.
Les nazis savaient que la plupart des gens sont capables de brutalité insoupçonnée. Au début de leur entrainement, les futurs officiers SS recevaient un jeune berger allemand. Le chiot grandissait, travaillait, jouait et dormait avec le jeune soldat. Ils passaient, six mois ensemble et une relation de confiance s’établissait. Pourtant, avant d’être accepte parmi les SS, le jeune officier devait passer un ultime test consistant à étrangler son chien a mains nues. Ceux qui n’y parvenaient pas étaient renvoyés de l’armée SS. Les autres étaient devenus capables de la pire monstruosité, en six mois a peine.
Nous résistons certainement au mal, quand il s’agit de telles énormités. Sommes-nous prêts, cependant, a reconnaitre que les petits pèches que nous nous commettons chaque jour ne sont pas substantiellement différents du mal a plus grande échelle.
Ainsi le verset 3-4 nous donne un élément important concernant cette bête. Lisons ce verset : « Et (je vis) l’une de ses têtes comme frappée à mort, mais sa blessure mortelle fut guérie. Remplie d’admiration, la terre entière suivit la bête. Ils se prosternèrent devant le dragon, parce qu’il avait donné le pouvoir à la bête ; ils se prosternèrent devant la bête, en disant : Qui est semblable à la bête et qui peut la combattre ? »
Le verset 3 est une allusion claire à la croix. L’une des têtes de la bête semble frapper a mort, puis cette blessure mortelle guérit. Le terme traduit par « frappée à mort » est le même que celui du verset 8 : « l’Agneau immolé des la fondation du monde ». La blessure mortelle de la bête de la mer est une parodie de la mon de Jésus-Christ. Mais si la bête est frappée à mon, que signifie la guérison de sa blessure ? Une résurrection ! Cette bête passe, tout comme Jésus, par la mort et la résurrection.
La contrefaçon ne s’arrête pas là. D’après Apocalypse 13.1, la bête a dix cornes et sept têtes, comme le dragon ! Jésus disait « Celui qui m’a vu. a vu le Père ». (Jean 14.9) Voir la bête, signifie voir le dragon ! Au verset 2, il est dit que • le dragon lui donna sa puissance, son trône et un grand pouvoir ». Cela fait écho aux paroles de Jésus dans Matthieu 28.18 : « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. » Jésus recevait son autorité du Père, la bête la reçoit du dragon.
La bête de la mer exerce également un ministère qui, selon le verset 5, dure quarante-deux mois, c’est-à-dire trois ans et demi, exactement comme le ministère de Jésus, Cela donne un intérêt particulier à la question du verset 4 : « Qui est comme la bêle ?» Le lecteur familiarisé avec l’épître aux Hébreux reconnaît le nom de Michaël (référence précédente à Jésus dans Apocalypse 11.7-9)qui signifie « Qui est comme Dieu ? ».
La bête de la mer apparaît donc comme une contrefaçon de Jésus-Christ, le fils de Dieu. À la fin des temps, une fausse trinité constituée du dragon, de la bête de la mer et de celle de la terre, prendra la place de Dieu Satan présentera sa supercherie si habilement qu’il sera difficile de distinguer la vérité.
Quelle différence cet avertissement devrait-il provoquer dans notre vie aujourd’hui ? Alors que nous approchons de la fin du monde, nous devrions plus que jamais prier et étudier la Bible, car Satan cherchera par tous les moyens possibles à altérer notre compréhension des Ecritures.
En faite cette bête de la mer se comporte d’une façon normale d’un point de vue. Le verset 5-6 nous dit : « Il lui fut donné une gueule qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes. Et il lui fut donné le pouvoir d’agir pendant quarante deux mois. Elle ouvrit sa gueule en blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer contre son nom, son tabernacle et ceux qui l’habitent dans le ciel. »
Pour être considéré et admire, il faut parler de façon méprisante, comme le fait la bête. Tout le monde doit savoir que l’on est grand, et quelques jurons ne gâchent rien puisqu’ils impressionnent et donnent une image de force. Il ne manque que la démarche arrogante pour paraître vraiment supérieur !
L’Evangile va dans le sens contraire ‘ La bête de ta mer lente d’usurper la place de Jésus-Christ dans le cœur des hommes et elle v réussit en partie. Cependant, pour le véritable Christ, la grandeur ne se caractérise pas par de grands discours, des blasphèmes et de l’arrogance ; elle se manifeste par une bassine et une serviette (Jean 13). La véritable grandeur s’humilie, même jusqu’à la mon (Philippiens 2.5-8).
J ai entrevu la véritable grandeur un jour, sur un terrain de golf, je jouais avec un groupe d’amis el nous prenions le jeu 1res au sérieux. Les mauvais tirs déclenchaient des exclamations grossières, car chacun cherchait à tout prix à démontrer sa supériorité. Au dix-septième trou, le président du club se trouva devant un tir décisif Le jeu se terminait et chaque point comptait. Il étudia le sol et prépara soigneusement son tir. Il frappa un peu fort el enfonça la balle dans le sol au heu de la propulser Sans un mot, il se prépara a une deuxième tentative qui aboutit au même résultat ‘ A noire grand étonnement, il ne dit rien, même si son visage exprimait sa lutte intérieure.
Avant de quitter le terrain avec mon ami. je dis à cet homme : « Seul un grand homme est capable de faire ce que vous ave; fait au trou dix-sept sans jurer ».
Je compris ce jour-là que tout le monde peut être grossier, mais que seul celui qui a un caractère fort sait affronter les circonstances difficiles sans perdre la maîtrise de soi. Il est plus facile de devenir président d’un club de golf que de contrôler son langage ou de se mettre au service des autres. La grandeur authentique caractérise ceux qui suivent l’Agneau et non ceux qui imitent la bêle. Ce qui sort de notre bouche révèle notre véritable caractère.
Or l’apôtre Jean nous dira que la bête reçut un pouvoir, celle de « faire la guerre aux saints et de les vaincre. Il lui fut donné pouvoir sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation. »
Gardez-vous le souvenir des longues journées nonchalantes des vacances de votre enfance ? j ai grandi à Litlle Ferry, dans le New Jersey, un petit village tranquille a proximité de la ville de New York Nous passions l’été avec des amis, à jouer a des jeux de société ou nager lorsqu’il faisait très chaud, a jouer au hockey ou au football quand la température permettait de rester dehors.
Quand j’étais seul, je trouvais toujours une occupation intéressante, je lisais ou Faisais des jeux de construction. Ce qui me plaisait le moins était l’ennui, quand nous étions plusieurs amis :
« Si on jouait au football ?
— Je n’en ai pas envie.
— Alors, jouons au Risk ?
— Je n’aime pas ce jeu.
— Qu’est-ce que tu veux faire ?
— Je ne sais pas, je m’ennuie… »
Le problème, quand je restais en compagnie d’amis qui s ennuyaient, est que je finissais par m’ennuyer aussi. Aujourd’hui, on ente l’ennui à tout prix. Personne ne souhaite vivre une morne existence routinière. L’ennui ne fait jamais partie du programme de vacances intéressantes.
D’après l’Apocalypse, la vie chrétienne n’est jamais ennuyeuse D’une part, le parcours chrétien, la joie de partager l’Évangile et de voir l’action de l’Esprit dans notre vie sont enthousiasmants. De l’autre, cet enthousiasme implique aussi une bataille contre le péché et Satan, et nous prenons conscience que notre foi suscite l’opposition. La vie chrétienne est parfois comparée à « une bataille et une marche ».
L’enthousiasme de l’Apocalypse n’est cependant pas toujours évident. La monotonie et la routine font aussi partie de la vie chrétienne. Il faut se rappeler que Jésus a passé les trente premières années de sa vie à travailler dans un atelier, charpentier inconnu d’un petit village du nord d’Israël. La « monotonie quotidienne » de son existence lui permit de s’enraciner profondément dans la sagesse et l’amour de Dieu. La vie chrétienne se compose d’un sain mélange d’enthousiasme et de monotonie.
Ainsi faisons attention à notre manière de vivre. La monotonie peut entrainer à un certain moment des faits graves comme le dit le verset 8 : « Et tous les habitants de la terre se prosterneront devant elle, ceux dont le nom n’a pas été inscrit sur le livre de vie de l’Agneau immolé dès la fondation du monde. »
De ce fait, j’eus une grande surprise, lors d’un voyage récent à Singapour. Une assemblée pour toutes les Eglises adventistes de la ville avait été organisée le sabbat dans un grand palais des congres. Les responsables de la mission avaient envoyé des messages le sabbat matin pour rappeler à chacun le lieu et l’heure du rendez-vous, je pensais qu’il s’agissait de courriels, mais on m’expliqua qu’il s’agissait de messages textes ou texto envoyés sur les téléphones portables, car presque tous les membres en possédaient un. (Pas moi !)
Cette nouvelle manière de rappeler le congrès aux membres m’incita à prêter attention à un rapport concernant les textes aux Philippines. II semble que la région de Manille, aux Philippines, soit la capitale mondiale du message texte. Tout le monde semble posséder un téléphone portable, même les plus pauvres, et ils l’utilisent constamment
En raison de leurs ressources limitées, la plupart des gens ne peuvent utiliser leur téléphone pour parler, ce qui serait beaucoup trop coûteux. Ils finissent donc par échanger continuellement des messages. Il est ires courant de voir des personnes attendant ou marchant dans la rue en composant fiévreusement des textes qu’elles envoient a toutes leurs connaissances.
Le texto a également eu un impact sur l’Eglise catholique des Philippines. !i semble qu’au lieu de se rendre chez le prêtre à l’église pour confesser leurs péchés, de nombreux Philippins aient trouvé une façon plus rapide et efficace de le faire. Ils envoient un message au prêtre qui leur renvoie l’absolution et la sanction par le même moyen !Même si cette formule est avantageuse, l’Eglise, horrifiée, a promulgue un édit pour arrêter celte pratique.
Même si ce type de religion de supermarché peut nous faire sourire, je me demande combien d’entre nous sont des « chrétiens texto ». Essayons-nous d’intégrer la foi dans notre emploi du temps quotidien pour satisfaire au minimum requis, ou construisons-nous notre journée autour de cette foi, cherchant véritablement Dieu chaque jour dans un moment de méditation profonde et sincère ?
Je suis heureux que Dieu ne soit pas un Dieu « texto ». Il s’est donne lui- même dans la personne de Jésus. Il ne s’est pas contente d assembler quelques lettres et d’appuyer sur « envoyer ». Il a donne son temps et s’est, personnellement sacrifié. Ce sacrifice a un impact rétroactif jusqu’à la « fondation du monde ». Un tel Dieu est digne de bien plus qu’une réponse bâclée.
Et nous arrivons aux 2 derniers versets de notre réflexion qui nous disent : « Si quelqu’un a des oreilles, qu’il entende ! Si quelqu’un est (destiné) à la captivité, il ira en captivité ; si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée. C’est ici la persévérance et la foi des saints. »
Le terme traduit ici par « persévérance » signifie littéralement « rester dessous ». Il décrit une personne sur laquelle pèse un lourd fardeau. Elle pourrait échapper à ce poids mais choisit de ne pas le faire. Ce mot est souvent traduit par « endurance patiente ». La patience consiste a supporter des circonstances peu agréables dans l’attente d’un futur meilleur. Dans Apocalypse 1.3.10, les saints choisissent d’endurer la captivité et la mort parce que leur cœur et leur esprit sont dans les lieux célestes (voir verset 6),
Rien n’est plus frustrant que de devoir attendre l’exaucement de nos prières L’attente affecte notre patience. Elle ne semble pas s’insérer dans le schéma chrétien. Pourquoi Dieu nous laisse-t-il attendre un emploi pendant des mois, alors qu’il a créé le monde en sept jours ? Pourquoi certaines personnes mentent-elles de faim alors que Jésus nourrit cinq mille personnes en un instant ? Pourquoi attendre pour une guérison, alors qu’une parole de Jésus suffit à ressusciter Lazare ? A quoi sert la persévérance, ou la patiente endurance ?
L’une des raisons pour lesquelles Dieu nous demande de patienter est que l’attente est un important facteur de croissance. Dans Romains 5.3, 4, Paul explique que la tribulation produit la persévérance (terme utilisé dans Apocalypse 13.10) et que la persévérance fortifie le caractère. La patience n’est donc pas une option pour les chrétiens. Dans l’attente, les plans et objectifs de Dieu nous sont révélés tels que nous ne les percevrions jamais dans la frénésie de la vie quotidienne. « Rester dessous » développe notre force de caractère,
La société nous incite à désirer une gratification immédiate. Si tu veux ceci, achète-le : si tu ne possèdes pas (argent nécessaire, emprunte-le ou vole-le, Les solutions faciles et rapides ne servent cependant pas les objectifs a long terme et ne favorisent pas une croissance durable. La société propose une culture adolescente. La principale différence entre l’adulte et l’enfant est la capacité a retarder la gratification. Les vrais adultes savent attendre et sacrifier le plaisir immédiat au profit du bénéfice à long terme.
Les épreuves de la fin des temps exigeront de nous une grande force de caractère. « Rester dessous » n’est jamais amusant, mais c’est toujours plus facile quand les yeux sont fixes « au-dessus » !
La persévérance est une des caractéristiques des saints ; ceux qui suivent Dieu persévèrent dans l’accomplissement du bien. Ils restent fidèles dans l’épreuve. Ils ne se contentent pas d’une vie superficielle mais approfondissent la Parole de Dieu, désireux de suivre le chemin que leur indique cette Parole.
En 1938, Abdelaîiz Ibn Saud, roi d’Arabie Saoudite, autorisa une équipe d’ingénieurs américains à explorer le désert bordant le golfe Persique, une terre aride avec de rares oasis de palmiers. Chef de tribu en situation financière précaire, il espérait qu’ils découvriraient de l’eau et que les chevaux et chameaux de ses guerriers pourraient se désaltérer.
Cependant, l’équipe du « Standard Oïl of Californie » avait d’autres idées en tête. On avait déjà découvert du pétrole dans d’autres pays de la région et les ingénieurs pensaient en trouver plus en Arabie Saoudite. Pendant plusieurs années, ils forèrent plus de six puits, sans succès. Frustrés, ils auraient pu abandonner. Au contraire, ils décidèrent de voir si en creusant davantage, ils obtiendraient de meilleurs résultats. Ils réinstallèrent donc leur équipement au puits n° 7 et forèrent plus profondément. Ils atteignirent une profondeur de mille cinq cent soixante-quinze mètres et rencontrèrent enfin les traces de ce qui devait devenir la plus importante ressource de pétrole brut du monde. Leurs efforts furent couronnés de succès grâce à leur volonté d’aller plus loin.
Curieusement, le roi ne sembla pas apprécier tout de suite cet événement. II ignora la nouvelle de la découverte du pétrole pendant encore un an. Finalement, il arriva avec sa suite et une caravane de quatre cents automobiles à la station de pompage de Ras Tanura a temps pour voir le premier tanker emporter sa précieuse cargaison de pétrole brut saoudien. Cette découverte devait tout changer.
Avant cela, la principale source de revenus du royaume saoudien provenait des pèlerinages à La Mecque, ville sainte de l’Islam. La première exportation de pétrole rapporta cependant des capitaux au-delà de toute attente. Le style de vie des Bédouins saoudiens changea radicalement. Ce pays isolé ne disposant d’aucune autre ressource exportable devint un élément majeur de la politique internationale. La famille royale saoudienne s’éleva au rang des acteurs principaux de la scène mondiale. Sa richesse devint un facteur crucial dans la politique du Moyen-Orient et le marche des sources d’énergie du monde entier. Ce pays se trouve aujourd’hui au centre de l’attention, grâce à une poignée d’ingénieurs américains qui ne se contentèrent pas d’une approche superficielle de leur mission.
En Conclusion, faisons cette prière ensemble :
« Seigneur, montre-moi le mal qui est en moi. Je désire connaître la vérité sur moi-même pour que tu puisses me purifier et m’aider à te ressembler toujours plus.
Aide-moi à comprendre ce que tu veux me dire dans la Parole. Car tes paroles expriment ta grâce et ta bonté. Tu as quitte le ciel pour moi, pour me sauver et m’indiquer le chemin de la vraie grandeur. Que ma vie exprime aujourd’hui ta grandeur et ton caractère
Ainsi quoi que cette journée m’apporte, Seigneur; utilise-le pour construite mon caractère. Et aide-moi à comprendre plus clairement la profondeur de ton investissement pour moi. Je te réponds aujourd’huipar le don total de mon cœur.
Enfin merci pour les visions de l’Apocalypse. Elles m’enseignent que tu es grand et qu’il vaut la peine de persévérer jusqu’à la fin. Que ma patience dans les petites choses de la vie fortifie mon caractère pour endurer les difficultés futures. Donne-moi la patience et la persévérance des saints. Je ne veux pas me contenter d’une approche superficielle de ta Parole. »
Extrait du Livre de
Méditations quotidienne
En Chemin de Prière
De John Paulien.